L'aventure va commencer : Partie 2, l'équipement

Et voilà Archibald de nouveau dans les rues froides de Little Rock. Mais avec un petit plus, ce coup ci. Ses derniers achats tenait dans ses mains et à sa ceinture. Un glock 34 s'y balançait en effet au grés de ses pas, et deux boites de munition se trouvaient sous son bras gauche. De quoi tenir un petit moment face à quelques adversaires, pour sûr. Maintenant, il fallait acheter de quoi porter facilement tout ça, c'est à dire au moins un bon sac à dos pour pouvoir ranger ses boites de munitions et ses prochains achats. Dans le même coup, il achèterait un poncho, pour éviter de mourir de froid les matins comme ceux ci, dans les châpes de brouillard qui envahissaient quelques fois l'espace. C'est donc résolument qu'il se dirigea vers la cordonnerie, qui saurait lui fournir tout ce dont il aurait besoin pour transporter son équipement et le ranger, sans que cela ne lui pose un problème de quelques sortes que ce soit. Foulant rapidement la terre, il manqua de flanquer un coup d'épaule à une femme sortant d'une échoppe. Le temps de se retourner pour s'excuser, l'inconnue avait disparut sans laisser l'ombre d'une trace. Archibald resta un moment à regarder la direction dans laquelle l'inconnue s'était évanouie, partagé entre surprise et appréhension. Mais ce fut le froid qui gagnat sur ces deux ressentis. En effet, un frisson lui rappela qu'il ne faisait pas bien chaud dehors, et qu'il avait intêret à aller rapidement à la cordonerie pour s'équiper un bon vieux poncho en cuir. La vieille femme qui tenait la boutique était reconnu pour son travail d'excellence, et il se murmurait qu'elle avait même des clients fidèles qui venait de Liberty Hill pour n'acheter que chez elle tout ce dont ils avaient besoin. Il y avait sans doute une part de vrai dans tout cela, mais il était impossible de déterminer le vrai du faux dans les rumeurs, et c'est, selon certaines personne, ce qui en fait leur charmes. Enfin, toujours est il que Archibald se dirigea vers l'entrée de la cordonnerie, qui venait d'ouvrir, et en ouvrit la porte. En entrant, l'odeur de cuir ambiante le pris au nez. Il n'avait pas l'habitude de venir ici, et à chaque fois qu'il venait, cette odeur musqué le surprenait, peut être même la supprenait elle un peu plus à chaque nouvelle fois qu'il venait. Mais comme à chaque fois, il essaya de faire abstraction et ferma la porte derrière lui. Devant ses yeux s'amoncellaient sacs, ceintures et autres poncho qui se battaient pour avoir une petite place sur un bout d'étagère. Archibald se mit tout de suite en recherche de ce qu'il lui fallait. C'est ainsi qu'il inspectat les sacs en cuirs pour trouver celui qui lui plairait, un sac qui lui permettrait de ranger vivre et provision, mais qui reste facile à transporter. Une fois le-dit sac trouvé, il lui fallait un poncho pour pouvoir accuser les températures basses du moment. son choix se porta sur un poncho de cuir à double épaisseur, le plus luxueux qu'il puisse prendre avec son budget. La double épaisseur de cuir le protégerait, enfin il l'espérait, du froid. Enfin, il regarda l'une des ceintures utilitaire qui trainait dans un bac, non loin du comptoir. Ou plutôt, il lorgna avec un air intéressé sur les ceintures utilitaire. L'une de ces merveilles lui permettrait de placer son arme à la ceinture sans trop de risque, et grâce à la poche sur le côté, lui permettrait d'avoir quelques munitions à porté de main. C'est donc munis de tous ses achats qu'il s'approcha du comptoir, et salua la vendeuse tout en déposant ses articles devant elle :

"Bonjour, je vais vous prendre tout ça, combien est ce que je vous dois ?"

Donc, un poncho doublé, un sac à dos de voyage, et une ceinture utilitaire. La cordonnière examina l'ensemble, calculant dans sa tête le prix : 110 $. Puis elle regarda le client: un fringant jeune homme qui comptait fébrilement ses économies. Sans doute un jeune homme qui veut se lancer à l'aventure ou partir à l'armée, songea-t'elle avec un petit sourire. Cela lui faisait plaisir de voir un jeune homme motivé comme ça. Pour un peu, elle lui aurait dit de ne rien payer, mais bon, il faut tenir les comptes quand même, le prix du cuir remonte en ce moment en plus.

"100$ s'il vous plaît."

Dit la vieille dame en commençant à enlever les petites étiquettes ficelées aux produits. Pas à dire, faire ses courses directement chez l'artisan, ça permet d'obtenir de belles ristournes !

Et voilà encore une bonne affaire de faite. Bien entendu, Archibald avait rapidement fais le calcul du coût total de ses achats dans ce magasin alors qu'il prenait les objets sur les étalages. Et c'est pour ça que le prix que lui avait annoncé la vieille femme l'avait fait sourire. Et voilà dix dollars qui disparaissaient étrangement de la note. Le petit sourire de la vieille femme ne lui avait pas échappé lorsqu'il lui avait passé les objets, et qu'elle l'avait rapidement jaugé. Elle était parfaitement consciente d'avoir fait une fleur à son client. Il la regarda enlever d'une main experte les étiquettes qui se trouvaient sur les produit qu'il venait de choisir, tout en fouillant rapidement dans ses poches pour trouver son porte-feuille. Il sortit ce dernier, et en sortit quelques billet, de quoi faire cent dollars tout rond. Il n'y avait pas a dire, ces économies faisaient du bien à son budget. Il n'avait utilisé que trois-cent dollars pour le moment, et les deux-cents autres lui permettraient de se pourvoir facilement en nourriture et autres objets essentiel à une vie sur les routes. Il tendit les dollars à la vendeuse, une fois les emplettes faites, pour fourrer les boites de munitions acheté précédement à l'armurier dans le sac nouvellement acquis. Enfin, presque toutes les munitions. Il en laissat dix d'une des boites dans la poche de sa ceinture utilitaire. TOujours utile d'avoir quelques munitions a porté de main en cas de tuiles ou de pépins mineur. Il en profita pour passer la dite ceinture autour de sa taille, enlevant celle qui s'y trouvait précédement et en la fourrant dans son sac. Son révolver trouva presque naturellement place dans le holster qui se trouvait sur le côté de la ceinture. Un problème de moins sur les bras de Archibald. Il n'avait plus à ce demander où est ce qu'il poserait le holster, ni où est ce qu'il mettrait ses balles pour éviter de les perdres. Bien, et dans quelques secondes, le problème de la température extérieur serait également réglé. Enfin, dés qu'il aurait enfilé le poncho qu'il venait juste d'acheter. Certes, un poncho fourré aurait été meilleur pour se réchauffer efficacement, mais ce n'était pas trop dans son budget actuellement. Peut être ue prochaine fois, qui sait ? Enfin, pour le moment, celui ci serait sans aucune doute suffisant pour ce qu'il allait faire. Il n'avait pas de mission, pas de patron, il ne fallait pas non plus commencer à se monter la tête pour rien. Rien ne lui disait qu'il réussirait à obtenir un peu d'argent avant un bon moment. Enfin, il enfila le sac sous le poncho, remercia chaleureusement la vieille femme, autant pour son geste que pour l'équipement en lui même, et se décida à prendre congé, histoire d'aller s'occuper de prendre provision et produit de première nécessité, telle que des couverts, un casserole ou, bien plus important à ses yeux, un ou deux paquet de tabac. Ça faisait une éternité qu'il n'avait plus pu fumer une bonne petite cigarette au beau-matin. Et de plus, ce magasin serait le dernier qu'il visiterait. Alors autant en fumer une petite pour souligner le fait qu'il allait enfin pouvoir partir à l'aventure. Suite à ces pensées, il se dirigea vers la porte, l'ouvrit et sortit du magasin, pour rejoindre l'extérieur un peu moins froid que tout à l'heure...

[+Poncho +2 armure
+Sac à dos
+Ceinture utilitaire
-100$]